Une enquête ministérielle a démontré que la sclérose en plaques n’existe pas chez les hypophysectomisés et les hypophysiolysés. En supprimant la maturation des reliquats terminaux tardifs d’une organogenèse nerveuse qui est extrêmement prolongée chez l’homme, le tarissement de l’hormone de croissance en supprime la cinétique cellulaire et de ce fait même la cinétique du parasitisme viral dont les foyers de sclérose sont les cicatrices.